1: La croix 2: La vraie nature de la croix 3: la grandeur de la croix
1- La croix est une chose radicale.
Article de Aiden Wilson TOZER. Traduit de "The Best of A.W. Tozer" - Baker Book House, Grand Rapids, Michigan 49506 (USA).
Reproduction de la traduction française autorisée, pourvu qu'elle soit intégrale, et que les sources soient indiquées.
La croix de Christ est la chose la plus révolutionnaire que les hommes aient jamais connue.
La croix, à l'époque romaine, ne connaissait aucun compromis. Elle ne faisait jamais de concessions. Elle remportait toutes les discussions en mettant à mort ses opposants, et en les réduisant au silence une fois pour toutes. Elle n'a pas épargné Christ, et l'a mis à mort comme les autres. Il était vivant quand ils L'ont cloué sur cette croix, et complètement mort quand ils L'ont descendu de la croix, six heures plus tard. Ce fut là que la croix apparut pour la première fois dans l'histoire chrétienne.
Après la résurrection de Christ, Ses apôtres allèrent prêcher Son message, et ils ont prêché la croix. Partout où ils allaient, dans ce vaste monde, ils emmenaient avec eux la croix, et la même puissance révolutionnaire les accompagnait. Le message radical de la croix transforma Saul de Tarse ; d'un persécuteur de Chrétiens il devint un doux disciple de Christ et un apôtre de la foi.
La puissance de la croix changeait des hommes mauvais en hommes bons. Elle secoua les liens ancestraux du paganisme et modifia complètement l'aspect moral et intellectuel du monde occidental. La croix continua à agir et à transformer les gens aussi longtemps qu'on lui permit de rester ce qu'elle était originellement, c'est-à-dire une croix !
La puissance de la croix disparut quand on la transforma, d'objet de mort qu'elle était, en objet de décoration. Les hommes en firent un symbole, la suspendirent autour de leur cou comme un ornement, ou en firent un signe magique destiné à écarter le diable. Au mieux, la croix devint un emblème sans puissance, au pire, un véritable fétiche. La croix est révérée aujourd'hui par des millions de gens, qui ignorent absolument tout de sa puissance.
La croix atteint son objectif en détruisant les plans de sa victime, pour mettre en œuvre son propre plan. C'est ainsi qu'elle remporte toujours la victoire. Elle gagne le combat par la défaite complète de ses opposants, et leur impose sa volonté d'une manière absolue. La croix est toujours la plus forte. Elle n'accepte jamais de compromis, elle ne discute jamais, ne marchande jamais, ne cède jamais rien sous prétexte d'avoir la paix. Elle ne se soucie pas de faire la paix. Sa seule préoccupation, c'est de faire cesser toute opposition aussi rapidement que possible.
C'est dans une parfaite connaissance de ces choses que Christ a dit : "Si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive" (Matthieu 16 : 24).
Ainsi, non seulement la croix a mis fin à la vie de Christ, mais elle met aussi fin à notre première vie, à la "vieille" vie de tous Ses véritables disciples. La croix détruit l'ancien régime, celui d'Adam, dans la vie du Chrétien, et y met fin définitivement. Mais c'est alors que le Dieu qui a ressuscité Christ d'entre les morts ressuscite aussi le Chrétien, et qu'une nouvelle vie commence.
C'est cela le vrai Christianisme. Rien de moins. Pourtant, nous ne pouvons que constater que cette conception diverge nettement de la conception de la plupart des Chrétiens évangéliques aujourd'hui. Mais il nous est impossible d'édulcorer notre position. La croix s'élève bien au-dessus des opinions des hommes. Devant cette croix, toutes les opinons personnelles devront venir en jugement. Des conducteurs superficiels et mondains veulent modifier la croix, pour répondre aux souhaits de petits saints avides de divertissements, qui sont prêts à venir rechercher leur plaisir jusque dans le sanctuaire. Suivre cette voie, c'est aller au-devant d'un désastre spirituel, et risquer d'encourir la colère de l'Agneau, devenu Lion.
Il nous faut faire quelque chose au sujet de la croix. Nous n'avons qu'une alternative : nous enfuir, ou mourir sur elle. Si nous sommes assez insensés pour fuir, nous abandonnerons par cet acte la foi de nos pères, et nous ferons du Christianisme autre chose que ce qu'il est. Il ne nous restera plus que le langage creux du salut. En nous éloignant de la vraie croix, la puissance s'éloignera aussi de nous.
Si nous sommes sages, nous ferons ce que Jésus a fait : souffrir la croix et mépriser son ignominie, en vue de la joie qui nous est réservée. Faire cela, c'est soumettre notre vie tout entière à la destruction, et accepter qu'elle soit reconstruite dans la puissance d'une vie éternelle. Nous découvrirons alors qu'il s'agit de bien plus que de poésie, de cantiques mélodieux et de sentiments élevés. La croix tranchera dans notre vie là où cela fait le plus mal. Elle n'épargnera ni notre réputation si soigneusement cultivée, ni notre vie personnelle. Elle nous vaincra, et mettra fin à notre vie égoïste. Ce n'est qu'à ce prix que nous pourrons nous relever dans la plénitude de la vie, d'une vie entièrement nouvelle, libre et remplie d'œuvres bonnes.
Le fait que l'orthodoxie chrétienne moderne ait remplacé la vraie croix par celle que nous voyons aujourd'hui ne prouve pas que c'est Dieu qui ait changé, ni que Christ ait adouci Sa volonté de nous voir porter notre croix. Cela signifie plutôt que c'est la Chrétienté qui s'est écartée des exigences exposées dans le Nouveau Testament. Nous nous sommes écartés si loin, en réalité, qu'il ne nous faut rien moins qu'une nouvelle Réforme pour restaurer la croix à sa vraie place dans la théologie et dans la vie de l'Eglise.
2- La vraie nature de la croix
Article de C.A. Mackintosh.
Reproduction de la traduction française autorisée, pourvu qu'elle soit intégrale, et que les sources soient indiquées.
Quels sont les aspects essentiels de l'œuvre de la Croix, en ce qui concerne nos relations avec Dieu, et nos relations avec le monde ? (Ce texte a été écrit en 1862 !)
J'aimerais développer un peu l'œuvre de Christ sur la Croix, dans ses deux aspects fondamentaux. Autrement dit, la Croix est le fondement de notre adoration, mais aussi de notre témoignage. Elle nous donne la paix avec Dieu, et nous permet d'être enseignés par Dieu. Les deux aspects dont je veux parler concernent nos relations avec Dieu, et nos relations avec le monde.
La Croix et le pécheur.
Quand un pécheur est convaincu de péché et regarde à la Croix de notre Seigneur Jésus-Christ, il peut recevoir une paix qui a des fondements éternels. Il peut voir que son péché a été ôté, jusqu'à sa racine même, et que le Seigneur S'est chargé de ses péchés. Il peut contempler un Dieu qui a accepté d'occuper la condition qui est celle du pécheur, comme le lui atteste sa conscience convaincue de péché.
Par la Croix, Dieu devient donc l'ami du pécheur. Il Se révèle au pécheur dans l'aspect le plus merveilleux de Son caractère, celui d'un Dieu saint qui justifie le pécheur le plus endurci. Rien, dans toute la création, ne peut offrir quoi que ce soit de semblable ! Aucun autre aspect de la providence divine ne peut offrir quoi que ce soit de semblable ! C'est là que je peux contempler la puissance de Dieu, Sa majesté, et Sa sagesse ! Pourtant, en elles-mêmes, la puissance, la majesté et la sagesse de Dieu ne peuvent pas ôter mon péché, ni me justifier devant le Seigneur. Car le pécheur que je suis a besoin d'autre chose.
Par la Croix, toutefois, tout est entièrement changé ! Car, par la Croix, Dieu peut résoudre le problème du péché d'une manière qui Le glorifie infiniment ! C'est là que je peux contempler une magnifique démonstration de l'harmonie parfaite de tous les attributs divins. C'est là que je peux voir l'amour de Dieu, un amour si grand, qui captive et rassure mon cœur. A mesure que je réalise la grandeur de cet amour, tout le reste me semble bien terne en comparaison ! Je réalise la sagesse de Dieu, une sagesse qui ferme la bouche aux démons et qui remplit les anges d'étonnement. Je réalise la puissance de Dieu, puissance qui anéantit toute opposition. Je réalise la sainteté de Dieu, une sainteté qui repousse le péché à l'extrémité de l'univers moral, et qui manifeste de la manière la plus intense l'horreur de Dieu à l'égard du péché. Je réalise aussi la grâce de Dieu, une grâce qui permet au pécheur d'entrer dans la présence même de Dieu, jusqu'à pénétrer dans le sein même de Dieu !
Où pourrais-je voir toutes ces choses, sinon dans l'œuvre de la Croix ? Ces choses ne sont nulle part ailleurs dans l'univers ! Cherchez bien, et vous ne trouverez rien qui puisse aussi bien combiner la gloire de Dieu dans les lieux célestes, et la paix sur la terre !
La Croix nous attire à Dieu.
La Croix est donc infiniment précieuse, car elle est le lieu où le pécheur peut obtenir la paix, où il peut présenter son adoration, et s'assurer d'une relation éternelle avec Dieu. Car c'est là que Dieu Se révèle d'une manière bénie et glorieuse ! Combien cette Croix est précieuse pour Dieu, car elle Lui fournit l'occasion de manifester Sa justice, et de déployer pleinement toutes Ses perfections incomparables, dans Sa manière si tendre et si compatissante de régler le problème du pécheur !
Cette Croix est tellement précieuse pour Dieu, comme un auteur l'a récemment fait remarquer, que "tout ce que Dieu a dit, tout ce qu'Il a fait, dès le commencement du monde, indique que cette Croix a toujours été ce qu'Il avait de plus cher dans Son cœur. Et cela n'est pas étonnant ! Car Son Fils Bien-aimé y a été cloué, suspendu entre ciel et terre, objet d'opprobre et de souffrance, au point que les hommes et les démons ont pu s'acharner contre Lui, parce qu'Il a aimé faire la volonté de Son Père, pour racheter les enfants de Sa grâce. Cette Croix sera, dans toute l'éternité, un perpétuel centre d'attraction. C'est là que le Seigneur y a manifesté parfaitement Son amour.
La Croix nous sépare du monde.
La Croix est aussi le fondement de notre obéissance pratique, en tant que disciples, ainsi que le fondement de notre témoignage. A cause de cela, elle exige notre plus profonde considération. Dans cet aspect, elle accomplit une œuvre aussi parfaite que celle dont nous parlions précédemment, en ce qui concerne notre relation avec Dieu.
Cette même Croix qui m'a remis en contact avec Dieu m'a en effet séparé du monde. Celui qui est passé par la mort n'a plus rien à voir avec ce monde ! Ainsi, le Chrétien qui est identifié avec Christ dans Sa mort, qui est effectivement passé par la mort en Christ, n'a plus rien à voir avec ce monde. Il est aussi ressuscité en Christ et avec Christ, uni à Dieu dans la puissance d'une nouvelle vie de résurrection, et possédant une nouvelle nature.
Nous sommes reliés à Jésus-Christ par un lien indestructible. Nous participons donc nécessairement à Son acceptation par Dieu le Père, et à Son rejet par le monde. Les deux choses vont de pair. Etant unis à Christ, nous pouvons adorer le Père, et devenir citoyens du Ciel. Etant coupés du monde, nous pouvons être des étrangers sur cette terre, tout en étant des témoins de Christ. Nous sommes transportés à l'intérieur du voile, dans le Lieu Très Saint. Mais nous sommes aussi transportés hors du camp. Ces deux positions sont aussi définitives et complètes l'une que l'autre !
La Croix est venue s'établir entre moi et mes péchés. Mais elle est aussi venue d'établir entre moi et le monde. Dans le premier aspect, la Croix me donne la paix avec Dieu. Dans le second aspect, elle me rend ennemi du monde. Pourtant, si la Croix m'a rendu ennemi du monde, elle m'a aussi transformé en témoin patient et humble de cette grâce précieuse, indicible et éternelle qui nous y est révélée.
Nous devons comprendre ces deux aspects de l'œuvre de la Croix.
Comme Chrétiens, il nous est nécessaire de bien comprendre et de distinguer clairement ces deux aspects de l'œuvre de Christ à la Croix. Nous ne pouvons prétendre bénéficier de l'un de ces aspects, tout en refusant de tenir compte de l'autre.
Si notre oreille a pu entendre l'appel de Christ à venir Le rejoindre de l'autre côté du voile, dans le Lieu Très Saint, elle doit aussi pouvoir entendre Son appel à Le rejoindre hors du camp ! Si nous bénéficions de l'expiation accomplie pour nous à la Croix, nous devons aussi accepter le nécessaire rejet que nous devrons souffrir de la part du monde. C'est Dieu qui nous a fait bénéficier de l'expiation de nos péchés, par la mort de Son Fils à la Croix. Mais c'est nous qui devons accepter le rejet qui y est associé.
Notre heureux privilège, c'est d'être non seulement débarrassés de nos péchés, mais d'être aussi débarrassés du monde ! Tout cela est inclus dans la doctrine de la Croix. C'est pour cela que l'apôtre Paul a pu écrire : "Pour ce qui me concerne, loin de moi la pensée de me glorifier d'autre chose que de la croix de notre Seigneur Jésus-Christ, par qui le monde est crucifié pour moi, comme je le suis pour le monde!" (Galates 6 :14).
Paul considérait le monde comme quelque chose qui devait être cloué à la Croix. Quand le monde a crucifié Christ, il a aussi crucifié, en Lui et avec Lui, tous ceux qui Lui appartiennent. Nous retrouvons donc cette double crucifixion, en ce qui concerne le Chrétien et le monde. Quand nous sommes pleinement entrés dans cette œuvre parfaite de la Croix, nous réalisons qu'il ne nous est plus possible de nous mêler au monde, en quoi que ce soit !
Bien-aimé lecteur, nous avons besoin de réfléchir profondément à ces choses, dans la prière, et avec un cœur honnête et sincère. Puisse le Saint-Esprit nous donner la possibilité de bénéficier pleinement de toute la puissance de la Croix de Christ, dans tous ses aspects !
3- La grandeur de la Croix de Christ.
Article de T. Austin-Sparks.
Ce texte a été écrit par T. Austin-Sparks en 1932. Il est, et sera toujours d'actualité !Quelle œuvre extraordinaire le Seigneur a accomplie sur la Croix ! Nous n'avons pas encore pris toute la mesure de ce qui s'est passé au Calvaire ! C'est une immense bénédiction que de voir le Seigneur Se charger de nos péchés sur le bois ! Mais puissions-nous aussi voir qu'Il a détruit tous les aspects de l'activité satanique dans la vie de l'homme ! Il a pris tout cela sur la Croix et l'a ôté de nos vies.
Dans sa signification la plus profonde, la Croix nous révèle que c'est là que nous avons été crucifiés. Nous avons aussi été ensevelis avec Christ. Il ne S'est pas contenté de régler le problème de nos péchés. Mais il a réglé le problème de toute l'espèce humaine, de la nature humaine elle-même ! Il l'a mise à mort ! Non seulement pour mettre fin à l'espèce humaine, mais pour mettre fin à toute l'activité de Satan ! A la Croix, l'Homme déchu a été mis à mort, mais la puissance de Satan a été également brisée. Ses œuvres mensongères ont été détruites. Tout cela, Christ l'a accompli sur la Croix !
La Croix doit avoir une place centrale.
Dans ces temps périlleux, quel est donc le fondement inébranlable de Vérité sur lequel doit s'appuyer le peuple de Dieu ? Nous devons reconnaître ce fait accompli, que la racine même de la nature humaine a été détruite par la Croix du Seigneur Jésus. Chacun de ceux qui sont en Christ doit parvenir à la connaissance du fait que notre nature humaine a été réduite à néant, afin que nous ne puissions plus être contrôlés par cette nature, dans ses raisonnements, ses désirs, ses affections, ses choix, et ses décisions. Tout doit à présent nous venir de Dieu, comme un don du Saint-Esprit, qui peut à présent gouverner notre vie. Nous ne devons plus jamais, en aucune manière, être conduits par nos propres raisonnements !
Le cœur même de notre nature humaine doit être frappé à mort. Nous devons faire partie de ces hommes qui, comme Jacob, doivent, pour le reste de leurs jours, s'appuyer sur leur bâton, parce que quelque chose de vital dans leurs forces personnelles a été touché, brisé, desséché. Nous devons porter le témoignage du Calvaire tous les jours de notre vie, et confesser que "J'ai été crucifié avec Christ", et que "ce n'est plus moi qui vis…" (Galates 2 :20). J'ai fait une rencontre avec Dieu, et Il m'a frappé ! Le "moi" charnel ne doit plus me diriger, car ce n'est plus "moi" qui vis !
La Croix nous délivre de la puissance des ténèbres.
La Croix nous a unis à Christ dans Sa mort. A cause de cela, nous pensons peut-être que la Croix nous impose le lourd fardeau d'avoir constamment à renoncer à toutes sortes de choses, et d'avoir à mourir, à être crucifiés, avec toutes les souffrances que comporte une telle crucifixion. Mais, en réalité, bien-aimés, la Croix nous a arrachés au royaume des ténèbres pour nous transporter dans le Royaume du Fils de l'amour de Dieu ! Elle nous a délivrés de la puissance de Satan et de tous ses mensonges !
La Croix nous protège de toutes les séductions surnaturelles de Satan.
Tant que notre âme n'aura pas été traitée par la puissance de la croix, pour se soumettre à Dieu, et tant que nous ne saurons pas ce que c'est que marcher par l'esprit, nous serons exposés aux séductions de Satan. Vous verrez qu'il sait contrefaire l'action du Saint-Esprit, pour nous plonger dans toutes sortes d'excitations et d'émotions qui proviennent d'une âme encore contrôlée par la chair. Il ne nous est pas possible de contrôler cette activité désordonnée de l'âme, qui aboutit parfois à la pire indécence. Le diable sait bien nous plonger dans des expériences surnaturelles, mais elles ne viennent pas du Saint-Esprit. C'est le fruit du désir intense de l'âme de vivre toutes sortes d'expériences surnaturelles. Ce désir a ouvert la porte aux puissances des ténèbres, qui peuvent vous offrir tout ce que vous désirez !
Vous pouvez ainsi être guidés d'une manière surnaturelle, vous pouvez obtenir des miracles, et toutes sortes d'autres choses semblables ! Mais ne vous y trompez pas ! La séduction et le mensonge peuvent trouver un terrain favorable dans notre nature humaine ! C'est pour cela que toute la puissance de cette nature humaine doit être brisée !
Dans ces temps de la fin, le Seigneur sauvera Ses enfants de la séduction et du mensonge. Il va les ramener sur le rocher inébranlable de cette Vérité, celle de notre identification avec Christ dans Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection. Nous comprendrons alors ce que cela signifie réellement que de passer de notre nature humaine de péché à la nouvelle nature que nous avons reçue en Christ !
Dans ce domaine, comme dans beaucoup d'autres, Christ crucifié est réellement la puissance de Dieu et la sagesse de Dieu !